-

Agrément et utilité du genre.

Ses opinions.

Sa philosophie. En quoi elle est anglaise et pratique.

Son Essai sur Bacon. Quel est selon lui le véritable objet des

sciences. Comparaison de Bacon et des anciens.

-

-

Pourquoi

III. Sa critique. Ses préoccupations morales. - Comparai-

son de la critique en France et en Angleterre.

il est religieux.

Angleterre.

et l'État.

-

Liaison de la religion et du libéralisme en

Libéralisme de Macaulay. Essai sur l'Église

-

IV. Sa passion pour la liberté politique. — Comment il est l'ora-

teur et l'historien du parti whig.

les Stuarts.

V. Son talent.

---

Son goût

pour les développements. Caractère oratoire de son esprit.
En quoi il diffère des orateurs classiques. Son estime
pour les faits particuliers, les expériences sensibles, et les sou-
venirs personnels. Importance des spécimens décisifs en
tout ordre de connaissance. Essais sur Warren Hastings et

VI. Caractères anglais de son talent. Sa rudesse. Sa plai-
santerie. Sa poésie.

Harmonie de son talent, de ses opinions et de

Universalité, unité, intérêt de son histoire. —

Le massacre de Glencoe. Traces d'amplification

et de rhétorique.

-

VIII. Comparaison de Macaulay et des historiens français. — En

quoi il est classique. En quoi il est anglais. - Position

intermédiaire de son esprit entre l'esprit latin et l'esprit ger-

manique.

151

I. Ses bizarreries, ses obscurités, ses violences. - Son imagina-
tion, ses enthousiasmes.—Ses crudités, ses bouffonneries. 239
II. L'humour. -- En quoi elle consiste. Comment elle est ger-
manique. Peintures grotesques et tragiques. Les dan-
dies et les mendiants.

-

-

Catéchisme des cochons.

tension de son esprit et de ses nerfs. . . .
III. Barrières qui le contiennent et le dirigent.
du réel et le sentiment du sublime.

IV. Sa passion pour le fait exact et prouvé.
sentiments éteints.

sympathie.

-

-

-

-

-

-

-

-

Extrême

.. 247

Le sentiment

260

-

Son

Sa recherche des
Véhémence de son émotion et de sa
Intensité de sa croyance et de sa vision.
Past and Present. Cromwell's letters and speeches.
mysticisme bistorique. Grandeur et tristesse de ses vi-
sions. Comment il figure le monde d'après son propre
esprit. .
V. Que tout objet est un groupe, et que tout l'emploi de la pen-
sée humaine est la reproduction d'un groupe.
Deux façons
principales de la reproduire, et deux sortes principales d'es-
prits. Les classificateurs. Les intuitifs. Inconvénients

du second procédé. — Comment il est obscur, hasardé, dénué
de preuves.
Comment il pousse à l'affectation et à l'exagé-
ration. Duretés et outre cuidance qu'il provoque.

tages de ce genre d'esprit. Il est seul capable de reproduire
l'objet. Il est le plus favorable à l'invention originale.
Quel emploi Carlyle en a fait.

-

270

$ 2. Son rôle.

Introduction des idées allemandes en Europe et en Angleterre.

- Études allemandes de Carlyle. .

277

-

-

I. De l'apparition des formes d'esprit originales. Comment

elles agissent et finissent. Le génie artistique de la Renais-

Le génie oratoire de l'âge classique. Le génie

philosophique de l'âge moderne.

trois périodes. . .

sance.

-

-

-

Analogie probable des

277

-

II. En quoi consiste la forme d'esprit moderne et allemande.

Comment l'aptitude aux idées universelles a renouvelé la lin-

guistique, la mythologie, l'esthétique, l'histoire, l'exégèse, la

théologie et la métaphysique. Comment le penchant méta-

-

physique a transformé la poésie.

.. 280

III. Idée capitale qui s'en dégage. Conception des parties so-

lidaires et complémentaires. Nouvelle conception de la

nature et de l'homme. . .

-

-

282

IV. Inconvénients de cette aptitude. L'hypothèse gratuite et

l'abstraction vague. Discrédit momentané des spéculations

allemandes.

-

--

283

V. Comment chaque nation peut les reforger. Exemples an-

ciens.-L'Espagne au seizième et au dix-septième siècle. — Les

puritains et les jansénistes au dix-septième siècle. La

France au dix-huitième siècle. Par quels chemins ces

idées peuvent entrer en France.

tique...

VI. Par quels chemins ces idées peuvent entrer en Angleterre.

L'esprit exact et positif. — L'inspiration passionnée et poé-

I. Les choses sensibles ne sont que des apparences.

divin et mystérieux de l'ètre. Sa métaphysique. . . . 291

II. Comment on peut traduire les unes dans les autres les idées

positivistes, poétiques, spiritualistes et mystiques.- Comment

chez Carlyle la métaphysique allemande s'est changée en puri-

tanisme anglais. . .

298

III. Caractère moral de ce mysticisme. - Conception du devoir.

Conception de Dieu.

-

300

.. 303

et le christianisme officiel. Les autres religions. Limite
et portée de la doctrine. . .
V. Sa critique.

...

Quelle valeur il attribue aux écrivains.
Quelle classe d'écrivains il exalte. Quelle classe d'écri-

vains il déprécie. Son esthétique.

Voltaire...

-

Son jugement sur

308

En quoi elle est contraire aux pré-
Le goût n'a qu'une autorité rela-

313

S 4. Sa conception de l'histoire.

.. 316

I. Suprême importance des grands hommes.

révélateurs. Nécessité de les vénérer.

II. Liaison de cette conception et de la conception allemande.

En quoi Carlyle est imitateur.

Portée de sa conception.

-

Qu'ils sont des

III. Comment la véritable histoire est celle des sentiments hé-

Que les véritables historiens sont des artistes et

roïques.

-

-

-

.. 321

des psychologues. . .

IV. Son histoire de Cromwell. Pourquoi elle ne se compose

que de textes reliés par un commentaire. Sa nouveauté et

sa valeur. Comment il faut considérer Cromwell et les pu-

ritains. Importance du puritanisme dans la civilisation

-

moderne. - Carlyle l'admire sans restriction.

-

323

V. Son histoire de la révolution française. Sévérité de son

jugement. En quoi il est clairvoyant et en quoi il est in-

juste...

-

VI. Son jugement sur l'Angleterre moderne.
du bien-être et la tiédeur des convictions. Sombres prévi-

-

. . 328
Contre le goût

· Contre

331

Dangers de l'enthousiasme.

336

sions pour l'avenir de la démocratie contemporaine.
l'autorité des votes. Théorie du souverain. .

-

VII. Critique de ces théories.

Comparaison de Carlyle et de Macaulay. .

CHAPITRE V.

LA PHILOSOPHIE. STUART MILL.

I. La philosophie en Angleterre. Organisation de la science.

-

positive. Absence des idées générales.

339

II. Pourquoi la métaphysique manque. Autorité de la reli-

gion . . .

III. Indices et éclats de la pensée libre.

342

-

- Ses œuvres.

-

Son genre d'esprit.

-

L'exégèse nouvelle.

A quelle

Stuart Mill.

famille de philosophes il appartient. — Valeur des spéculations

-

supérieures dans la civilisation humaine. .

344

§ 1. Exposition.

I. Objet de la logique. En quoi elle se distingue de la psy-

chologie et de la métaphysique.

II. Ce que c'est qu'un jugement.

-

-

Ce que nous connaissons du

monde extérieur et du monde intérieur. Tout l'effort de la

science est d'ajouter ou de lier un fait à un fait. . . . . 349

III. Théorie de la définition. - En quoi cette théorie est impor-

tante. Réfutation de l'ancienne théorie. — Il n'y a pas de

définition des choses, mais des définitions des noms. 355

IV. Théorie de la preuve. Théorie ordinaire. - Réfutation.

Quelle est dans un raisonnement la partie probante. . . 356

V. Théorie des axiomes. Théorie ordinaire. Réfutation.
Les axiomes ne sont que des expériences d'une certaine
classe. . . .
. . 362
VI. Théorie de l'induction. La cause d'un fait n'est que son
antécédent invariable. L'expérience seule prouve la stabi-

lité des lois de la nature. En quoi consiste une loi.
quelles méthodes on découvre les lois. La méthode des con-
cordances, la méthode des différences, la méthode des résidus,
la méthode des variations concomitantes...

367

371

VII. Exemples et applications. - Théorie de la rosée.
VIII. La méthode de déduction. Son domaine. Ses procé-