Essai sur les anciennes assemblées nationales de la Savoie, du Piémont et des pays qui y sont ou furent annexésT. Ballimore, 1829 - 246 lappuses |
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actes ambassadeurs Amé Amédée VIII anciens assemblées assises générales avaient barons Berry Bolomier Bonne de Bourbon Bourgogne Bresse c'est-à-dire Capré Cariche del Piemonte Chambéry chambre des comptes chancelier de Savoie Charles VII Charlotte de Savoie chose Compey comte de Maurienne comte de Savoie comte Galli conseil d'Etat convocation convoquer Costa de Beauregard d'Amédée VIII Dauphin délibération députés différens documens duc de Savoie duc Emmanuel-Philibert duc Louis duchesse dudit ensuite Etats de Savoie Etats-Généraux de Savoie évêques Genève gentilshommes gouvernement Grillet Guichenon Histoire historiens Humbert Jean l'an l'auteur de l'Appendice l'autorité l'empereur l'Etat l'évêque l'histoire ledit lesdits nobles lettres patentes loi salique maison de Savoie mariage Maurienne messire mondit sieur Osasco parle pays de Savoie pays de Vaud peuples Philippe Piémont Pierre princes de Savoie quod rapporte régence REMARQUES ET PREUVES Sabaudiæ seigneur sénat sieur de Savoie souverain statuts sujets Tarentaise TEXTE tion Turin tutelle
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192. lappuse - C'est ainsi, lui disais-je, que la terre ouvre son sein fertile et prodigue ses trésors aux heureux peuples qui la cultivent pour eux-mêmes : elle semble sourire et s'animer au doux spectacle de la liberté; elle aime à nourrir des hommes. AJI contraire, les tristes masures , la bruyère et les ronces qui couvrent une terre à demi déserte , annoncent de loin qu'un maître absent y domine , et qu'elle donne à regret à des esclaves quelques maigres productions dont ils ne profitent pas.
50. lappuse - Philippe-le-Long : n'était-ce pas en effet une espèce de contradiction de voir la comtesse d'Artois , eu qualité de pair de France , soutenant la couronne sur la tête d'un prince qui venait de priver de cette même couronne l'héritière de son frère, sous prétexte qu'une fille n'était pas faite pour la porter? La loi salique n'étaitelle donc pas la même pour l'Artois que pour la France?
xxi. lappuse - Borelli , les retranchements et les interpolations sont partout visibles. 11 paraît que ce sénateur, instrument docile de la volonté des ministres de cette époque , en était lui-même honteux, car, dans une courte préface, sans trop entreprendre de justifier ce qui fut fait , il cherche à s'excuser avec une humilité remarquable.
142. lappuse - Roy eut tousjours vcscu , et ceux qui lors estoient avec luy en son conseil , il l'eut fort avancé à cette heure; mais à ce qui est advenu depuis et adviendra, il chargea fort son...
50. lappuse - Dieu, et n'a que des sujets : à la vé-* rite , le roi avait des vassaux à cause de son domaine ; mais ils n'en étaient pas moins ses sujets, et son domaine n'avait de supérieur que lui-même. «Le royaume ne tombe point en quenouille, dit » Loiscl , quoique les femmes soient capables de
151. lappuse - Charles-le-Chauve , les capitulaires de l'empereur notre aïeul et de notre père , que les Français ont jugé à propos de reconnaître pour lois , et que nos fidèles ont résolu, dans une assemblée générale , d'observer en tout temps : Capitularia patris nostrij quœ Franci pro lege tenenda judicaveruntj et. -fideles nostri in genera H placito nostro conservanda decreverunt (i). « Nous faisons savoir à tout le monde, disent Char...
xxiii. lappuse - Dictionnaire historique , littéraire et statistique des départements du Mont-Blanc et du Léman , contenant l'histoire ancienne et moderne de la Savoie. Chambéry, 1807, 3 vol.
49. lappuse - ... que ce fût une fille, que les douze pairs » et les hauts barons de France eussent conseil et avis entre eux d'en » ordonner, et donnassent le royaume à celui qui avoir le devroit.
118. lappuse - ... car qu'y at-il de plus digne d'un roi que de donner à tous ses sujets la permission d'exposer leurs plaintes avec liberté , publiquement, et dans un lieu où l'imposture et l'artifice ne peuvent se glisser?
122. lappuse - ... sentence d'excommunication fut solennellement prononcée contre quiconque violerait les chartes royales; à la fin de la cérémonie, les prélats jetèrent leurs flambeaux éteints et fumants, en s'écriant : « Que tous ceux qui encourront cette sentence soient ainsi éteints et puants en enfer! » Et le roi ajouta : « Que Dieu me soit en aide ! Je ne violerai aucune de ces choses, aussi vrai que je suis un homme, un chrétien, un chevalier et un roi couronné et sacré ! » Les chartes furent...