Lapas attēli
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On the 11th of January, Captain Semmes, whilst on his cruise off the coast of the United States, met the United States gun-boat Hatteras, and, after a short engagement, sent her to the bottom. He was compelled to take the prisoners on board, and having received six large shot-holes at the water-line, to navigate the ocean not without peril, in quest of a port of some sovereign power or other in which he could not only land his excess of numbers but likewise obtain the necessary means wherewith to renew his capacity of cruising at all. The captain seems to have reflected upon the matter carefully, and to have made up his mind that, although at a very considerable distance from his actual position, his best chance of a favorable reception would be in a port of the kingdom whose laws had been so dexterously defied. He accordingly made his way, not without great difficulty, to Port Royal, in Her Majesty's island of Jamaica. In his own statement of this transaction will be most clearly discovered the state of his feelings on approaching this crucial experiment:

This was the first English port I had entered since the Alabama had been commissioned, and no question whatever as to the antecedents of my ship was raised. I had, in fact, brought in pretty substantial credentials that I was a ship of war, 130 of the officers and men of one of the enemy's sunken ships. Great Britain had the good sense not to listen to the frantic appeals either of Mr. Seward or Minister Adams, both of whom claimed, as the reader has seen, that it was her duty to stultify herself and ignore the commission of my ship. Nor did Commodore Dunlop say anything to me of my destruction of British property, &c.

From this passage it appears very clearly that the possibility of such an obstacle had not been entirely out of the line of his apprehension. If the objection had been made, it is altogether probable that the career of this vessel would have been terminated in a manner very different from that which subsequently happened. But it was not raised. Governor Eyre, who was then the ruling authority, appears to have acted with some hesitation, and to have been mainly determined by the obvious necessity of landing the great number of prisoners as a pure act

Le 11 janvier, le capitaine Semmes, pendant qu'il croisait le long de la côte des ÉtatsUnis, rencontra la canonnière des Etats-Unis le Hatteras, et, après un court engagement, la coula à fond. Il fut obligé de prendre les prisonniers à bord, et, le vaisseau ayant six grand trous de boulets à fleur d'eau, il dut naviguer sur l'océan, non sans. péril, en quête d'un port d'une puissance souveraine quelconque, dans lequel il pût, non-seulement mettre à terre le surcroît de ces personnes, mais aussi obtenir les moyens nécessaires pour se remettre en état de croiser, ce qu'il ne pouvait pas faire sans cela. Le capitaine paraît avoir réfléchi soigneusement sur ce sujet, et avoir décidé que, quoique à une distance très-considérable de sa position actuelle, la meilleure chance pour lui d'une réception favorable serait dans un port du royaume dont les lois avaient été si habilement bravées. En conséquence, il se dirigea, non sans grande difficulté, vers Port Royal, dans l'ile de la Jamaïque, appartenant à sa Majesté. Dans son propre exposé de cette affaire, on découvrira très-nettement l'état de ses sentiments à l'approche de cette épreuve suprême:

"Ce fut le premier port anglais dans lequel j'entrais depuis que l'Alabama avait été commissionué, et aucune question sur les antécédents de mon navire ne fut soulevée. J'avais apporté en effet des lettres de créance assez substantielles, prouvant que j'étais un vaisseau du guerre: cent trente officiers et soldats de l'un des vaisseaux ennemis coulé à fond. La Grande-Bretagne avait eu le bon sens de ne prêter l'oreille ni aux appels frénétiques de M. Seward ni à ceux du ministre Adams, qui tous deux soutenaient, comme le lecteur l'a vu, que c'était son devoir de se renier elle-même et d'ignorer la commission de mon navire. Le commodore Dunlop ne me dit rien non plus au sujet de la destruction par moi de propriétés anglaises,” etc.

Il ressort très-clairement de ce passage que la possibilité d'un tel obstacle n'avait pas été entièrement étrangère à ses appréhensions. Si l'objection avait été faite, il est très-probable que la carrière de ce vaisseau aurait été terminée d'une manière bien différente de celle qui eut lieu dans la suite. Mais elle ne fut pas soulevée. Le gouverneur Eyre, qui était alors l'autorité régnante, semble avoir agi avec quelque liésitation et avoir été surtout déterminé par la nécessité claire de mettre à terre le grand

of humanity. The order sanctioning the repairs does not appear to have been expressed by him in terms, and he immediately addressed a letter to the Duke of Newcastle, the colonial secretary at home, submitting the facts, and soliciting his approbation.

On the 14th of February, by a letter from Mr. Hammond, on behalf of Earl Russell, that approbation appears to have been granted, though not without reluctance, for it is followed by an injunction to get rid of the vessel as soon as possible.

Nevertheless the evil was done. And by this proceeding Her Majesty's government appear, at least to my eyes, practically to have given their formal assent to the principle in international law that SUCCESS SANCTIFIES A FRAUD. In the memoir which I have heretofore prepared on the subject of the Florida, I have gone so much into the examination of that question that there is no necessity for my dwelling upon it further. I have always regretted that on this occasion Her Majesty's gov ernment failed to use the occasion for establishing a law on the ocean most consistent with the principles of equity which should prevail upon men, and not unlikely, in the distant future, to inure to the benefit of her own marine quite as largely as to that of any other nation

The next step in the order of events essential to the purposes of the narrative was the arrival of Captain Semmes at Cape Town. But I do not, at this time, propose to pursue the matter further, partly because the consideration of it is likely to be renewed in examining the case of the Tuscaloosa, and partly because the facts material to a judgment in the case seem to me to have been already collected.

It thus appears that this vessel was built and fitted up with the intent to carry on war with the United States, in the kingdom of Great Britain, in violation of her laws, and that, notwithstanding the evidence of the fact was established so far in the opinion of Her Majesty's law-officers as to justify detention, by reason of the absence of due vigilance, not without suspicion of connivance on the part of some of Her Majesty's officers, and of an extraordinary delay in issuing the necessary orders at the

nombre de prisonniers comme un pur acte d'humanité. L'ordre sanctionnant les réparations ne paraît pas avoir été exprimé par lui formellement, et il adressa immédiatement une lettre au duc de Newcastle, secrétaire des colonies en Angleterre, lui soumettant les faits et sollicitant son approbation.

Le 14 février, par une lettre de M. Hammond, sur l'ordre du Comte Russell, cette approbation paraît avoir été accordée, quoique non sans répugnance, car elle est suivie d'une injonction de faire partir le vaisseau le plus vite possible.

Néanmoins le mal était fait, et par cette conduite le gouvernement de sa Majesté semble, au moins à mes yeux, avoir donné pratiquement son assentiment formel au principe de loi internationale que le "succès sanctifie une fraude." Dans le mémoire que j'ai préparé déjà au sujet du Florida, je suis entré si longuement dans l'examen de cette question qu'il n'y a nulle nécessité de m'étendre davantage là-dessus. J'ai toujours regretté qu'à cette occasion le gouvernement de sa Majesté ait manqué de saisir l'occasion d'établir une loi maritime tout à fait en rapport avec les principes d'équite qui devraient prévaloir parmi les hommes, et qui vraisemblablement à l'avenir contribuera à l'avantage de sa propre marine aussi largement qu'à celui de toute autrę nation.

Le pas suivant dans l'ordre des événements essentiels au but de ce récit fut l'arrivée du capitaine Semmes à Cape Town. Mais je ne me propose pas maintenant de poursuivre ce sujet plus longtemps, en partie parce que l'examen doit en être renouvelé en examinant le cas du Tuscaloosa, et en partie parce que les faits qui doivent fournir la matière d'un jugement dans ce cas me semblent avoir été déjà réunis.

Il semble ainsi: 1° que ce vaisseau a été construit et équipé, avec l'intention de faire la guerre aux Etats-Unis, dans le royaume de la Grande-Bretagne, en violation de ses lois; 20 que, quoique la preuve du fait ait été établie dans l'opinion des officiers de la loi de sa Majesté assez pour justifier une saisie, en raison de l'absence "des dues diligences," non sans soupçon de connivence de la part de quelques officiers de sa Majesté et d'un délai extraordinaire à donner les ordres nécessaires au moment le plus

most critical moment, the vessel was suffered to escape out of the jurisdiction. That her armament, her supplies, and her crew were all provided and transported from Her Majesty's kingdom without the smallest effort to investigate their nature or their purposes. That though orders were freely given for the detention of the vessel at any of the colonial ports at which she might arrive, the first time that she did actually appear she was received and recognized with all the honors due to the marine of a recognized belligerent power, without the smallest manifestation of dissatisfaction with the gross violation of laws that had entailed upon Her Majesty's government a grave responsibility to a power with which she was at peace.

Thus it appears to me beyond a doubt that in the case of the Alabama, Great Britain, by her omission to exercise due diligence in preventing the fitting out of this vessel, which it had reason to believe intended to cruise against a power with which it is at peace, has failed to fulfill the duties set forth in the first article prescribed to the arbitrators as their guide under the terms of the treaty of Washington.

VI. THE TUSCALOOSA.

Tuscaloosa.

In the series of papers which it has been my duty to prepare upon the vessels successively brought to the attention of the tribunal, I have proceeded so far as to deduce from the evidence submitted one general rule, which I believe to be sound. This is, that the assumption of a belligerency on the ocean, founded exclusively upon violence and fraud, can at no later period have any issue different in its nature from that of its origin.

This rule must receive another illustration from the case of the Tuscaloosa now before us. This was a merchant-ship belonging to the United States, originally having the name of the Conrad, which was captured by the Alabama on the 21st of June, 1863, on the coast of Brazil. Of the case of that vessel, of its fraudulent origin, and of the unfortunate recognition afterwards made of its character as a legitimate vessel on

critique, on permit au vaisseau d'échapper à sa juridiction; 3o que son armement, ses subsides et son équipage furent tous fournis et transportés du royaume de sa Majesté sans le plus petit effort pour rechercher leur nature ou leurs projets; 4° que, quoique des ordres aient été librément donnés pour la saisie du vaisseau dans quelque port des colonies qu'il pût arriver, la première fois qu'il y apparut réellement, il fut reçu et reconnu avec tous les honneurs dûs à la marine d'une puissance belligérante reconnue, sans la plus petite marque de mécontentement au sujet de la violation grossière de ses lois, qui avait attiré une grave responsabilité envers une puissance avec laquelle elle était en paix.

Ainsi il me paraît hors de doute que, dans le cas de l'Alabama, la Grande-Bretagne, en manquant d'exercer les "dues diligences" pour empêcher l'équipement de ce vaisseau, qu'elle avait des motifs raisonnables de croire disposé à croiser contre une puissance avec laquelle elle était en paix, a manqué à l'accomplissement des devoirs stipulés dans la première règle présentée aux arbitres comme guide d'après le texte du traité de Washington.

LE TUSCALOOSA.

Dans la série de documents qu'il a été de mon devoir de préparer sur les vaisseaux présentés successivement à l'examen de ce tribunal, je suis arrivé à déduire, des preuves qui nous ont été soumises, une règle générale que je crois être juste. Cette règle est que, si l'on prend le titre de belligérant sur l'océan, en se fondant exclusivement sur la violence et sur la fraude, on ne peut finir autrement que comme on a commencé. Cette règle reçoit une antre illustration du cas du Tuscaloosa, qui est maintenant devant nous. C'était un vaisseau marchand appartenant aux États-Unis et ayant d'abord le nom du Conrad, qui fut pris par l'Alabama, le 21 juin 1863, sur la côte du Brésil. Quant au cas de ce vaisseau, à son origine frauduleuse et à la reconnaissance. malheureuse faite plus tard de son caractère comme vaisseau légitime sur l'océan par

the ocean by the government of the nation whose laws it had so impudently set at defiance, I have already submitted my judgment in a preceding paper. That government was now destined to go through another crucial experiment, the necessary and legitimate consequence of its primal error.

It should here be observed that, in the order of events naturally following what has ever seemed to me the great original mistake of the recognition of this false maritime belligerent, sprang up a necessity of immediately considering the question of the recognition of any prizes which it might take and send in under the established law of nations to any of the ports of Her Majesty's kingdom, there to await a regular condemnation in the courts at home. Unless some action were at once taken to prevent it, the practical result would clearly be that the whole commerce of the United States would be in danger of sacrifice to one belligerent in British ports without a single chance of corresponding advantage to the other. For the fact that the insurgents had no commerce of their own whatever had become quite notorious.

In order to guard against this danger Her Majesty's government promptly resorted to a precautionary measure entirely within its power to take, under the law of nations, the prohibition of the use of its ports to either party for the admission of prizes. The same policy having been adopted by all other naval powers, it became evident to the false belligerent that nothing positive was to be gained to itself from its assumption of a place on the ocean. The only motive left for trying to keep it was the possibility of injuring its opponent. Hence, a resort to the barbarous practice of destroying the property it could not convert into plunder.

But this practice seems at times to have become unpleasant and wearisome to its perpetrators. Hence, it was natural that their attention should be drawn to some manner of evading it. The commander of the Alabama having made it the occupation of some of his leisure hours to study the best known treatises on the law of nations, seems to have hit upon a passage which he considered exactly to fit his purpose.

le gouvernement de la nation dont les lois avaient été si impudemment bravées, j'ai déjà soumis mon jugement dans un précédent mémoire. Ce gouvernement était dès lors destiné à passer par une autre épreuve décisive, conséquence nécessaire et légitime de sa première erreur.

Il faut remarquer ici que dans l'ordre des événements qui suivirent naturellement ce qui m'a semblé toujours la grande erreur originelle de la reconnaissance de ce faux belligérant, s'éleva la nécessité de considérer immédiatement la question de la reconnaissance de toute prise qu'il aurait pu faire et envoyer dans quelqu'un des ports du royaume de sa Majesté d'après le droit des gens, pour y attendre un jugement régulier devant les cours du royaume. Amoins de quelque mesure prise immédiatement pour l'empêcher, le résultat pratique aurait été clairement que tout le commerce des ÉtatsUnis se serait trouvé exposé à être sacrifié à l'un des belligérents dans des ports anglais, sans une seule chance d'avantage correspondant pour l'autre. Car, le fait que les insurgés n'avaient en propre aucun commerce du tout devait être parfaitement notoire. Afin de se garder de ce danger, le gouvernement de sa Majesté recourut promptement à une mesure de précaution qu'il était entièrement en son pouvoir de prendre d'après le droit des gens, la défense aux deux parties de se servir de ses ports pour l'admission des prises. La même conduite ayant été adoptée par toutes les puissances maritimes, il devint évident pour le faux belligérant qu'il n'avait rien à gagner en s'arrogeant le titre de puissance navale sur l'océan. Le seul motif qui restât pour tâcher de le garder était la possibilité de nuire à son adversaire. De là, le recours à la pratique barbare de détruire la propriété dont il ne pouvait pas faire du butin.

Mais cette pratique semble parfois être devenue désagréable et ennuyeuse pour ceux qui s'y livraient. Il était dès-lors naturel que leur attention se portât sur quelque moyen de l'éviter. Le commandant de l'Alabama, en ayant fait l'occupation de quelques-uns de ses moments de loisir pour étudier les ouvrages les plus connus du droit des gens, semble être tombé sur un passage qu'il considérait comme tout à fait

This was an extract from Wheaton's well-known work, to the effect that a legitimate authority might convert a captured merchant-vessel, with-. out condemnation, into a ship of war, to such an extent at least as to secure the recognition of it by neutral nations.

It was probably from this source that Captain Semmes contrived his scheme of turning the United States merchantman Conrad, laden with a cargo of wool from a distant market, into the Confederate States ship Tuscaloosa, tender to the Alabama, having two 12-pound rifle guns, and ten men; and bringing her into Her Majesty's port of Simon's Bay, Cape of Good Hope, to test the disposition of the local authorities to recognize the proceeding.

As usually happened in the course of these transactions, the naval officer in command in the harbor at once penetrated the fraud. RearAdmiral Sir B. Walker, on the 8th August, addressed a letter to Sir P. Wodehouse, in which he used this language:

The admission of this vessel into port will, I fear, open the door for numbers of vessels captured under similar circumstances, being denominated tenders, with a view to avoid the prohibition contained in the Queen's instructions; and I would observe, that the vessel Sea Bride, captured by the Alabama off Table Bay a few days since, or all other prizes, might be in like manner styled tenders, making the prohibition entirely null and void.

I apprehend that to bring a captured vessel under the denomination of a vessel of war she must be fitted for warlike purposes, and not merely have a few men and two small guns put on board her (in fact, nothing but a prize crew) in order to disguise her real character as a prize.

Now, this vessel has her original cargo of wool still on board, which cannot be required for warlike purposes; and her armament, and the number of her crew, are quite insufficient for any services other than those of slight defense.

But this sound judgment of the gallant naval officer met with little response from the higher authorities of the Cape.

As usual, the governor had consulted his attorney-general, and, as usual, the attorney-general gave an opinion, giving five reasons why.

convenable à son dessein. C'était un extrait du volume bien connu de Wheaton, dont le sens était qu'une autorité légitime pouvait convertir un vaisseau marchand capturé, sans jugement, en vaisseau de guerre, assez, du moins, pour assurer sa reconnaissance par des nations neutres.

Ce fut probablement à cause de cela que le capitaine Semmes conçut son projet de changer le vaisseau marchand des États-Unis, le Conrad, chargé d'une cargaison de laine d'un marché éloigné, en vaisseau des états-confédérés, le Tuscaloosa, tender de l'Alabama, ayant deux canons rayés de douze, et dix hommes, et de le conduire dans le port de sa Majesté de Simon's Bay, Cap de Bonne-Espérance, pour éprouver la disposition des autorités locales à reconnaître la fraude.

Comme il arrivait d'ordinaire dans le cours de ces transactions, l'officier de marine qui commandait dans le port pénétra immédiatement la fraude. Rear-Admiral Sir B. Walker adressa, le 8 août, une lettre à Sir P. Wodehouse, dans laquelle il tenait ce langage:

"L'admission de ce vaisseau dans le port ouvrira, je le crains, la porte à nombre de vaisseaux capturés dans des circonstances semblables et que l'on nommera tenders, en vue d'échapper à la défense contenue dans les instructions de la Reine; et je ferai remarquer que le vaisseau Sea Bride, capturé par l'Alabama près de Table Bay, il y a peu de jours, ou toute autre prise, pourrait, de la même manière, être nommé tender, rendaut ainsi la défense entièrement nulle et non avenue.

"Je crois que, pour placer un vaisseau capturé sous la dénomination de vaisseau de guerre, il faut qu'il soit propre à des projets de guerre et qu'il n'ait pas seulement quelques hommes et deux petits canons à son bord (en fait, pas autre chose qu'un équipage de prise) afin de déguiser son vrai caractère de prise.

"Maintenant ce vaisseau a encore à bord sa cargaison primitive de laine, ce qui est assez inutile pour des projets de guerre; et son armament et le nombre de son équipage sont tout à fait insuffisants pour aucun service autre que celui d'une légère défense." Mais ce jugement sain de ce brave officier de marine trouva peu d'écho chez les autorités supérieures du Cap.

Comme de coutume, le gouverneur avait consulté son attorney-general et comme de coutume l'attorney-general donna un avis renfermant cinq raisons pour lesquelles ce

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